Par Brittney McNamara, 1er février 2018
Le 31 janvier, Ahed Tamimi, une jeune militante palestinienne, a eu 17 ans. Elle les a eus dans la cellule d’une prison israélienne, où elle encourt de multiples accusations, y compris celle d’avoir attaqué des soldats, après qu’une vidéo, devenue virale en décembre 2017, la montre giflant un soldat israélien. Son emprisonnement fait partie d’un conflit en cours entre Israël et la Palestine qui remonte à près d’un siècle, dans lequel les Palestiniens reprochent aux Israéliens d’occuper les terres sur lesquelles ils pensent avoir un droit historique, tandis que les Israéliens affirment avoir un droit juridique et religieux sur les terres occupées. Ahed serait l’une des plus de 300 jeunes palestiniens détenus par les forces israéliennes.
Soumis au cabinet britannique en août 1917
Dans le Manière de Voir de février mars 2018, Gilbert Achcar (professeur à l’École des études orientales et africaines de l’Université de Londres. Auteur notamment de l’ouvrage Les Arabes et la Shoah ; La guerre israélo-arabe des récits, Sindbad – Actes Sud, Arles, 2009) a rédigé un article intitulé La Dualité du projet sioniste.
Interrogations sur la stratégie palestinienne
Orient XXI > Magazine > Michel Warschawski > 22 janvier 2018
La décision de Donald Trump de transférer l’ambassade des États-Unis à Jérusalem et de reconnaître cette ville comme capitale d’Israël ont mis en lumière l’impasse totale des accords d’Oslo. Même le président de l’Autorité palestinienne a dû le prendre en compte, en durcissant considérablement son langage. Mais il semble refuser de remettre en cause la stratégie qu’il suit depuis plus de dix ans, comme le prouve la décision de modifier les documents adoptés par le conseil central de l’OLP.