Non à la criminalisation de la solidarité avec la Palestine !

Communiqué du collectif national pour une paix juste et durable entre palestinien et israélien signé par l’UJFP.

Malgré un dossier vide, inconsistant, qui a conduit les juges de la 24ème chambre correctionnelle de Paris à relaxer Alain Pojolat, le parquet émanation, du pouvoir politique, du ministère de la justice de Madame Taubira a décidé de faire appel.

Rappelons les faits : Alain Pojolat est accusé d’avoir apposé sa signature pour les demandes d’autorisation en préfecture de deux manifestations finalement interdites. Il est seul mis en cause pour des décisions prises par plusieurs organisations qui ont maintenu leur appel à manifester.