Le pire n’est jamais certain.

A Perpignan, Denis L a été relaxé, le procureur ayant invité les juges à abandonner des poursuites abracadabrantesques (au motif d’avoir hébergé des sans – papiers), et ceux-ci ont acquiescé, sans même entendre les témoins.

Mais on a le droit de penser que la solidarité manifestée au mis en examen (voir le communiqué de l’UJFP) a aidé la Justice à ne pas se ridiculiser.

Reste que les expulsions continuent, que Valls et Cazeneuve en sont fiers, et que la solidarité est plus que jamais de mise.