Un message en images des paysans de Khuza’a et Abassan (sud-est de la bande de Gaza) pour remercier de son aide constante l’Union Juive Française pour la Paix
Un groupe de 50 israéliens anti-sionistes a rejoint la grande marche du retour du côté est de la clôture qui assiège la bande de Gaza. Le groupe, appelé Retour, a levé des drapeaux palestiniens qui pouvaient être vus par les manifestants palestiniens et appelé au droit de retour.
Une conversation téléphonique entre les manifestants et le Dr Haidar Eid, un militant de BDS protestant du côté ouest de la clôture, a eu lieu. « Un jour nous passerons de l’autre côté de la clôture et vous pourrez vous joindre à nous, et nous pourrons vous rejoindre », a promis le Dr Haidar Eid. Au cours de la manifestation, les manifestants ont été témoins de l’utilisation de moyens meurtriers et excessifs par les forces d’occupation.
Par Ramzy Baroud. Publié le 5 septembre sur le site de Chronique de Palestine.
Ramzy Baroud – Hanan al-Khoudari a eu recours à Facebook pour demander de l’aide lorsque les autorités israéliennes ont rejeté sa demande d’accompagner son fils âgé de trois ans, Louay, à son traitement en chimiothérapie à Jérusalem-Est.
Le garçon souffre d’un « agressif sarcome des tissus mous ». Les autorités israéliennes d’occupation ont alors justifié leur décision par une vague affirmation selon laquelle l’un des proches de Hannan est un « membre du Hamas ».
par Samah Jabr. Publié le 11 juillet 2018 sur le site de LMSI.
Pour beaucoup, le travail théorique, clinique et politique de Samah Jabr a été découvert en 2017 grâce au remarquable film d’Alexandra Dols, Derrière les fronts – un film qu’il faut absolument voir si ce n’est pas encore fait.
Aujourd’hui parait sous le même titre, aux Éditions Premiers Matins de Novembre, un livre tout aussi remarquable qui propose une sélection d’écrits de Samah Jabr traduits en français. Sous-titré Chroniques d’une psychiatre psychothérapeute palestinienne sous occupation, il aborde ce qu’on nomme la question palestinienne par de multiples entrées : l’irréductible légitimité de la cause palestinienne, les effets psychiques et psycho-pathologiques de la vie sous occupation, la tension incessante entre résilience et écrasement de la subjectivité, intériorisation de l’oppression et soif de liberté, « l’adolescence arrêtée » des mineurs palestiniens incarcérés, mais aussi « la folie comme stratégie de défense » du côté de l’État oppresseur. En guise de présentation, et d’invitation à découvrir l’ensemble de ces écrits passionnants, pénétrants, poignants, en voici un extrait.
Après le succès de la collecte de 2016 qui avait permis la construction s’un château d’eau à Khuza’a dans la bande de Gaza, la souscription lancée par l’UJFP en janvier 2018 pour raccorder une centaine de fermes supplémentaires à ce château d’eau a été couronnée de succès.
15 000 euros ont été envoyés et la cérémonie d’inauguration des 4 400 m de canalisations ainsi achetées et installées a eu lieu le samedi 12 mai en présence de nombreux paysans et personnalités (trois maires, le gouverneur de Khan Younis, les mokhtars… ).