« Entre Mer Méditerranée et Jourdain, Palestiniens et Israéliens sont en nombre sensiblement égal. Mais les Israéliens possèdent tout : les richesses, la terre, l’eau, les droits politiques. La Palestine est volontairement étranglée et la société est détruite. (…) Il faut dire les mots pour décrire ce qui est à l’oeuvre : occupa-tion, colonisation, apartheid, crime de guerre et crimes contre l’humanité, ra-cisme. (…) L’idéologie sioniste est au coeur de ce processus. (…) Le sionisme est au départ une idéologie de la séparation proclamant que Juif et non-juifs ne peu-vent pas vivre ensemble. (…) Il n’y aura pas de paix si on ne la fonde pas sur l’égalité des droits dans tous les domaines… » (Extraits de la 4ème de couverture)
En quoi peut-on parler d’apartheid à propos de la politique de l’État d’Israël ? Comment l’État d’Israël s’est-il assuré l’impunité et le soutien inconditionnel des états occidentaux ? Comment la société palestinienne dispersée dans tout le Proche-Orient résiste-t-elle ? Par quelles actions la soutenir ? Engagé à l’Union Juive Française pour la Paix, Pierre Stambul a pris de longue date position sur ces questions. C’est son regard qu’il nous propose.
RENCONTRE AVEC PIERRE STAMBUL qui vient de publier Du refus d’être complice à l’engagement, somme de textes sur son itinéraire militant à l’UJFP et sur la Palestine. (Éditions Acratie)
A l’initiative de l’Union juive française pour la paix, du cercle Jean Barrué de la fédération anarchiste et de la librairie du muguet