Guerre immorale et politique d’impunité. La guerre dans la bande de Gaza a été le théâtre d’une série de violations et d’abus flagrants de la part de l’armées israélienne, qui démontre un manque total de contrôle dans le traitement des civils et un usage excessif et injustifié de la force ; des milliers de personnes innocentes ont été tuées ou blessées, d’innombrables biens ont été détruits.
La violence excessive se manifeste par l’utilisation d’armes lourdes et de frappes aériennes sur des zones résidentielles densément peuplées, car les forces israéliennes n’ont pas pris la moindre précaution pour éviter de blesser les civils ou limiter les dommages collatéraux. Cette approche violente est toujours accompagnée d’une politique d’impunité totale, car les soldats israéliens ne sont pas tenus pour responsables des massacres et des actes de génocide qu’ils commettent contre les Palestiniens, en violation de toutes les lois et conventions internationales.
Au cours de cette guerre, les organisations locales et internationales de défense des droits de l’homme ont enregistré un grand nombre de cas mettant en évidence la destruction délibérée d’infrastructures, notamment le ciblage d’hôpitaux, d’écoles et d’abris de l’ONU, en violation flagrante du droit international humanitaire.
Non seulement les biens ont été détruits, mais des rassemblements de civils, y compris des femmes, des enfants et des personnes âgées, ont également été délibérément pris pour cible, reflétant un mépris total du principe de distinction entre cibles militaires et civiles, qui est l’un des fondements du droit international humanitaire.
De nombreux rapports confirment que les déclarations des dirigeants politiques et militaires israéliens favorisent un climat d’impunité et encouragent les soldats à continuer de commettre des crimes contre les Palestiniens. Ces déclarations incluent des expressions racistes qui promeuvent le mépris de la vie des Palestiniens, ce qui conduit à une escalade de la violence et à la justification des massacres comme faisant partie de « l’effort de guerre », au mépris des droits de l’homme et du respect des principes du droit international.
L’un des exemples les plus brutaux de cette guerre contre Gaza est le ciblage d’habitations civiles avec des missiles lourds et des bombardements aériens, qui ont conduit à l’effondrement complet des bâtiments au-dessus de la tête de leurs habitants.
Malgré les avertissements des organisations internationales sur la nécessité de protéger les civils et d’assurer leur sécurité, les forces israéliennes continuent de mener leurs opérations militaires avec la même approche violente, ce qui témoigne de la stratégie de destruction globale poursuivie par les forces d’occupation dans la bande de Gaza.
La guerre de Gaza est également caractérisée par le phénomène de la « vantardise » concernant le massacre de civils et la destruction de leurs biens, comme en témoignent les photos et vidéos de soldats célébrant leurs massacres contre les Palestiniens diffusées sur les réseaux sociaux israéliens, ce qui montre une absence de tout contrôle moral ou militaire régissant leur comportement. Cette vantardise envoie un message clair aux autres soldats, montrant que les crimes contre les civils ne sont pas seulement un effet secondaire de la guerre, mais font partie de la stratégie suivie.
Les abus commis par l’armée israélienne incluent également la détention et les mauvais traitements de civils lors d’incursions terrestres. De nombreux cas de torture et d’humiliations publiques ont été signalés, en plus de l’exécution sommaire de civils sans aucun procès ni responsabilité légale.
Dans le cadre de la guerre psychologique, des haut-parleurs et des drones sont utilisés pour diffuser des messages de menaces et d’intimidation, qui augmentent les souffrances de la population civile sous ce siège de longue durée, ce qui rend de plus en plus difficile, pour elle, d’obtenir les besoins de base.
L’une des violations les plus significatives qui accompagne cette guerre est le ciblage du personnel médical et des ambulances ; les équipes de secours sont directement ciblées alors qu’elles tentent d’évacuer les blessés et de les transporter vers les hôpitaux. Ce comportement constitue une violation flagrante du droit international humanitaire, qui stipule la protection du personnel médical et le non-ciblage de ses victimes en toutes circonstances. En conséquence, de nombreux blessés ne reçoivent pas les soins de santé nécessaires, ce qui augmente le nombre de victimes civiles.
Le principal problème qui aggrave ces violations est l’absence de responsabilité juridique pour les soldats et les commandants responsables des crimes commis. Au fil des ans, aucune mesure juridique sérieuse n’a été prise contre les personnes impliquées dans les massacres ou le génocide contre les Palestiniens. Ignorer la responsabilité ouvre la porte à la poursuite et à la répétition de ces crimes à l’avenir, car les soldats se sentent complètement à l’abri de toute responsabilité interne ou internationale.
Malgré les appels internationaux répétés à mettre un terme à la violence et à demander des comptes aux responsables des crimes, Israël continue d’ignorer toute pression, invoquant des besoins de sécurité. Cet argument est utilisé pour justifier l’usage excessif de la force et les massacres commis contre des civils, reflétant une faille profonde dans les systèmes militaire et judiciaire israéliens, et favorisant un climat d’impunité qui soutient les crimes.
En conclusion, la guerre contre Gaza confirme qu’Israël continue de mener une politique de violence excessive et de génocide sans aucun égard pour le droit international et humanitaire.
Il est impératif que la communauté internationale assume ses responsabilités en demandant des comptes aux dirigeants et aux soldats israéliens pour leurs crimes contre les Palestiniens et en s’efforçant d’assurer une véritable protection aux civils de la bande de Gaza, qui souffrent quotidiennement des horreurs de la guerre et du siège. La poursuite de cette situation sans que les responsables rendent des comptes ne fera qu’entraîner davantage de violations et une aggravation de la crise humanitaire dans la région.