Le vent, les oies, les chiens et les hélicoptères, qui se font entendre la nuit, se sont tus et ont laissé la place à un groupe de moineaux excités par l’approche de l’aube… La lueur du soleil se dessine à l’horizon à travers le halo de poussière qui surplombe ce bout de désert en forme de terrain vague, à première vue sans grandeur et sans majesté. La matinée commence à al-Araqib…
un reportage de Marion Lecoquierre
géographe, doctorante à l’Institut universitaire européen de Florence (Italie)