Séder de Pessah de l’UJFP-IDF avec la lecture de la « Haggadah de Libération »

« L’année prochaine à Jérusalem !… L’expérience contemporaine nous confirme une fois de plus que la liberté, telle qu’elle a été gagnée par nos ancêtres de l’Égypte ancienne, est toujours à défendre et que le pharaon, quel que soit le nom qu’il porte, est toujours à combattre. » Ces paroles sont tirées de la « Haggadah de Libération ».

Rédigée pour Pessah dans les années 1980 pendant la première Intifada, cette haggadah pas comme les autres est « dédiée au peuple palestinien et à sa lutte exemplaire pour l’autodétermination. » Ainsi, nous proposons à nos membres et sympathisants de faire une pause au milieu de nos activités politiques habituelles pour nous retrouver dans la détente d’une rencontre conviviale.

Dans notre esprit, Pessah n’est pas seulement la célébration de la libération des Juifs de l’esclavage en Égypte (événement réel ou mythique) mais dans la mesure où le message de Pessah appartient désormais au patrimoine universel de l’humanité, c’est également un appel à la libération de tous les peuples opprimés. Notre célébration de Pessah est le fruit d’une lecture moderne, humaniste, laïque, féministe et progressiste de cette fête.

Ainsi, pour la dix-huitième édition, vous aurez droit à un séder original, à un repas copieux traditionnel, cuisine juive, vin à volonté et ambiance garantie. L’UJFP aura une salle à manger pour elle seule dans un restaurant parisien, à proximité d’une station de métro. Le lendemain de notre séder est un jour férié, alors vous pouvez fêter tard et faire la grasse matinée le lendemain. Veuillez remplir le coupon-réponse ci-joint nous le retourner aussitôt. En même temps, nous vous demandons de bien vouloir nous envoyer votre chèque de règlement par la poste (40,00 € l’assiette).

Dès confirmation de votre participation, nous vous informerons de l’adresse du restaurant par téléphone. Veuillez faire vite car le nombre de places est limité : premier venu, premier servi ! (N.B. : Ce séder est aussi laïque que notre association ; le restaurant n’est pas kacher.)