Sur fond de conflit israélo-palestinien, Quand hurlent les hyènes aborde les ressorts médiatico-politiques qui conduisent à jeter l’opprobre sur le suspect d’un assassinat avant même la fin de l’enquête judiciaire. Certes, tout l’accuse et le meurtre est commis en plein été, traditionnelle période de creux en événements médiatiques. Or, il faut bien alimenter la machine…
#Bayonne #Conflit Israélo-palestinien
#Emballement politico-médiatique #Toulouse
4e DE COUVERTURE
Un vieil homme est assassiné près de chez lui, à Bayonne, par une belle nuit de juillet. Le tragique mais banal fait divers passe pourtant très vite d’une affaire d’été à une affaire d’État. Il est vrai que la victime est juive et dans un double contexte de tension au Proche-Orient et de montée de l’antisémitisme, le crime est ultramédiatisé. Il prend même des proportions gigantesques lorsqu’un jeune toulousain d’origine maghrébine, issu d’une « cité sensible », est suspecté.
Pourtant les policiers et le juge d’instruction en charge de l’affaire ont des doutes. Leïla Laoudi, journaliste au Messager, aussi. Elle va mener l’enquête dans une atmosphère délétère.
L’AUTEUR
Ancien journaliste de presse écrite (quotidiens, hebdos, mensuels puis agence), Bruno Jacquin embrasse ensuite une carrière dans la presse institutionnelle pour le compte d’un service public. Ressentant un grand besoin d’air, il quitte ce dernier pour assouvir sa passion de l’écriture. Féru de littérature noire et policière ainsi que d’histoire contemporaine et de politique, il mélange habilement les genres. Il a déjà publié un roman policier aux éditions Cairn « Galeux », « Quand hurlent les hyènes » est son troisième titre à paraître dans la collection Du Noir au Sud.