Dans le monde, depuis déjà 24 ans le mois d’octobre est consacré à une campagne de sensibilisation pour le dépistage du cancer du sein. De froides statistiques nous rappellent que chaque jour 96 femmes meurent du cancer du sein dans le monde. Dans la Bande de Gaza, selon les rapports annuels des autorités sanitaires, il y a plus de 300 femmes qui ont été diagnostiquées.
Par Michel Ouaknine.
L’origine du conteur public se perd dans la nuit des temps ; elle remonte peut-être au temps où nos lointains ancêtres se réunissaient pour certains travaux agricoles ou le soir, se retrouvaient pour se détendre autour d’un feu… Toutes les sociétés humaines ont développé l’art du conte : griots d’Afrique, rhapsodes grecs, bardes celtiques, troubadours et trouvères… Et les grands textes anciens sont très probablement hérités d’histoires développées et transmises de conteur à conteur avant d’être écrits (et figés) : l’épopée de Gilgamesh, le Mahābhārata, l’Iliade et l’Odyssée… et plus près de nous le conte des Mille et une nuits écrit au IXe siècle mais dont les origines se retrouvent plusieurs centaines d’années plus tôt en Inde, en Perse et dans le monde arabe, jusqu’en Égypte.
Entretien du 16/8/2019 avec Michèle Sibony, porte-parole de l’Union Juive pour la Paix. Elle était invitée sur le plateau de RT France à commenter la décision d’Israël d’interdire la visite de deux élues démocrates américaines, Ilhan Omar et Rashida Tlaib, en raison de leur soutien à la campagne de boycott de l’Etat hébreu. Les autorités israéliennes sont en partie revenues sur leur décision et ont autorisé Rashida Tlaib à entrer en Israël pour rendre visite à sa grand-mère.
#Israël #DonaldTrump #MichèleSibony
CONFLITS > CHRIS DEN HOND > 2 JUILLET 2019
Au Havre, à Marseille et à Gênes, les dockers refusent le chargement d’armes pour l’Arabie saoudite. Interview de Marie-Claire Jegaden, Mouvement de la Paix, Le Havre, avec des extraits du film Vivent les Dockers de Robert Ménégoz (1951), disponible chez Ciné-Archives.
Durée : 3’20
Chassés du style de vie, des coutumes et des économies agraires de la « vie de village » et placés dans des camps, les réfugiés ont commencé à investir dans l’éducation de leurs enfants (…) le pourcentage de la première génération de réfugiés qui étaient illettrés était d’environ 70%, mais ce pourcentage est tombé à approximativement 7% avec la deuxième génération élevée dans les camps de réfugiés.
Edo Konrad, « The Israeli academics who helped design Palestinian emigration » (disponible en français à http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/06/21/les-universitaires-israeliens-qui-ont-contribue-a-la-conception-de-lemigration-palestinienne ).
Deux millions de personnes, les habitants de Gaza, vivent dans ce qu’on appelle une prison à ciel ouvert qui manque de tout puisque les ressources qu’elle ne produit pas ne peuvent qu’être importées d’Israël ou d’Egypte, ces deux pays décidant -ou pas- de les exporter et à quel rythme…
Inutile de dire que dans de telles conditions, à Gaza les animaux abandonnés se trouvent dans des conditions très difficiles, sans refuge, sans nourriture, blessés, parfois même battus et torturés. Pourtant Saïd, malgré la crise humanitaire et économique dans laquelle il vit ne peut pas abandonner des animaux qui ont besoin d’aide.
Le Mesaharati est un annonceur public traditionnel qui, à l’aide d’un tambourin, est chargé de réveiller les musulmans du quartier pendant le Ramadan pour qu’ils prennent leur dernier repas avant la reprise du jeûne. Ce dernier repas, le Souhour (en arabe سَحُورٌ), doit être pris impérativement avant le lever du soleil.
Ibrahim Qrinawi est un jeune homme du camp de réfugiés d’Al Bureij situé dans la partie centrale de la bande de Gaza. Chaque nuit, pendant le Ramadan, Ibrahim revêt le costume traditionnel palestinien du Mesaharati pour réveiller les habitants du camp avec sa darbouka et son appel “O dormeur réveille-toi et prie Dieu”.