Dénonçons la désinformation et les calomnies à l’encontre d’une porte-parole de l’UJFP

Le 7 octobre 2024, Blast avait invité Michèle Sibony, porte-parole de l’UJFP, pour revenir sur la “séquence” qui a commencé le 7 octobre 2023.

Les propos tenus par Michèle Sibony ont été honteusement tronqués, et déformés par les sionistes de service des médias français (Caroline Fourest, Géraldine Woessner, rédactrice en cheffe du journal Le Point et consorts). Blast a immédiatement publié un communiqué dénonçant ce comportement.

Il s’agit d’une chasse aux sorcières d’extrême droite contre une porte-parole de l’UJFP qui dit quelque chose que les éradicateurs sionistes ne supportent pas : que l’on caractérise l’État d’Israël comme État colonial. Or, un tel régime colonial met des cibles dans le dos des Juifs israéliens et alimente l’antisémitisme.

Michèle Sibony et l’UJFP disent une chose simple et humaine contre la guerre, en accord avec le droit international : une seule solution, la décolonisation.

Pour les éradicateurs sionistes, peu importe qu’il y ait plus de 40 000 Gazaouis tués (voir plus si l’on prend en compte les estimations de la revue The Lancet) par les bombes israéliennes, dont plus de 70 % de femmes et d’enfants ; peu importe que la Cour internationale de justice ait considéré que l’État d’Israël devait tout faire pour prévenir tout acte de génocide éventuel et pour punir les incitations à commettre de tels actes et plus récemment que l’État d’Israël agit contre le Droit international, par l’occupation, l’annexion, et l’apartheid, validant la manière dont les Palestiniens décrivent la situation depuis longtemps.

L’UJFP dénonce fermement la campagne de désinformation et de calomnies visant Michèle Sibony et rappelle que dénoncer les oppressions systémiques d’un contexte colonial est nécessaire.

La Coordination nationale, le 11 octobre 2024