L’incendie de forêts en Israël – quel qu’en soit le responsable – revêt un symbolisme important dans le contexte de son histoire coloniale.
Dans son célèbre récit « Face aux forêts » (1963), A.B. Yehoshua, l’un des écrivains israéliens les plus populaires, raconte une rencontre entre un jeune garde-forestier juif et un vieux Palestinien vivant dans une forêt artificielle plantée sur les ruines du village où il est né. Symboliquement, l’histoire se termine avec l’incendie de la forêt par le Palestinien, dont la langue a été coupée pour des raisons mystérieuses, avec l’aide du jeune garde-forestier juif.
Lettre au rédacteur en chef du New York Review of Books (10 novembre, 2016)
Par Angela Y. Davis, Chandler Davis, Richard A. Falk, Rashid Khalidi, Alice Rothchild, etc…
Traduction française SF pour l’AURDIP
Une déclaration récemment publiée dans le New York Review of Books appelle à « un boycott économique et une non-reconnaissance politique des colonies israéliennes dans les territoires occupés (Lettres, 13 octobre).