par Samah Jabr. Publié le 11 juillet 2018 sur le site de LMSI.
Pour beaucoup, le travail théorique, clinique et politique de Samah Jabr a été découvert en 2017 grâce au remarquable film d’Alexandra Dols, Derrière les fronts – un film qu’il faut absolument voir si ce n’est pas encore fait.
Aujourd’hui parait sous le même titre, aux Éditions Premiers Matins de Novembre, un livre tout aussi remarquable qui propose une sélection d’écrits de Samah Jabr traduits en français. Sous-titré Chroniques d’une psychiatre psychothérapeute palestinienne sous occupation, il aborde ce qu’on nomme la question palestinienne par de multiples entrées : l’irréductible légitimité de la cause palestinienne, les effets psychiques et psycho-pathologiques de la vie sous occupation, la tension incessante entre résilience et écrasement de la subjectivité, intériorisation de l’oppression et soif de liberté, « l’adolescence arrêtée » des mineurs palestiniens incarcérés, mais aussi « la folie comme stratégie de défense » du côté de l’État oppresseur. En guise de présentation, et d’invitation à découvrir l’ensemble de ces écrits passionnants, pénétrants, poignants, en voici un extrait.
Après le succès de la collecte de 2016 qui avait permis la construction s’un château d’eau à Khuza’a dans la bande de Gaza, la souscription lancée par l’UJFP en janvier 2018 pour raccorder une centaine de fermes supplémentaires à ce château d’eau a été couronnée de succès.
15 000 euros ont été envoyés et la cérémonie d’inauguration des 4 400 m de canalisations ainsi achetées et installées a eu lieu le samedi 12 mai en présence de nombreux paysans et personnalités (trois maires, le gouverneur de Khan Younis, les mokhtars… ).
Compte-rendu de la rencontre-débat « Bédouins d’Israël et Palestiniens de Cisjordanie, même combat ? »
Compte-rendu de la rencontre-débat du 5 avril au CICP, organisée par l’UJFP et modérée par Irène Steinert avec :
– Dima Al Arqan, fonctionnaire au ministère palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés,
– Aziz Al Turi, habitant d’Al Araqib militant pour les droits civils des Bédouins et son fils
– Said, Avner Ben Amos, membre du conseil d’administration du Forum pour la Coexistence et l’Égalité des droits dans le Néguev.