04 juin 2018, par Lunettes Rouges
Je suis peut-être le critique d’art français ayant le plus écrit sur les artistes contemporains israéliens (juifs) : Micha Ullman, Yael Bartana, Sigalit Landau, Michal Rovner, Ori Gersht, Avner Katz, Guy Ben-Ner, Dani Karavan, Moshe Gershuni, Miri Segal, Omer Fast, Aïm Deüelle Lüski, Miki Kratsman (dont j’ai même présenté le travail lors d’une conférence en 2012 au Musée d’Art Moderne d’Alger), mais aussi des artistes un peu moins connus (Joseph Dadoune, Pavel Wolberg, Guli Silberstein, Nurith Aviv, Lili Almog, Haim Maor, Shuka Glotman, Gal Weinstein, Yaron Leshem, Igael Shemtov, Tami Notsani, Maya Zack, …) et bien d’autres, à l’occasion d’expositions ici ou là-bas. Je témoigne beaucoup d’intérêt, et beaucoup de respect pour cette scène artistique, ce qui ne m’empêche pas de garder (comme toujours) un oeil critique, en particulier en démontant certains mythes (ici aussi), et de m’intéresser aussi à la scène artistique palestinienne, de Mona Hatoum à Ahlam Shibli et Taysir Batniji, et à celle du Golan occupé.
Salon de l’armement à Villepinte, « Saison croisée France-Israël »: Halte à la coopération militaire et sécuritaire et au blanchiment des crimes de l’État israélien !
Palestine occupée, 02/04/2018 – Rappelant le souvenir du massacre de manifestants pacifiques par le régime sud-africain d’apartheid à Sharpeville en 1960, l’armée israélienne a commis un nouveau massacre contre des civils palestiniens qui commémoraient pacifiquement la Journée de la Terre en Palestine, appelant à mettre un terme au brutal blocus de Gaza par Israël et affirmant le droit au retour des réfugiés palestiniens, droit reconnu par les Nations Unies.