À Bobigny, le 21 septembre 2018, projection-débat en avant-première du film SAMOUNI ROAD de Stefano SAVONA

En présence du réalisateur Stefano Savona et en partenariat avec l’association PALESTINE DROITS SOLIDARITÉ.

Sarah Katz, de l’UJFP participera au débat.

Dans la périphérie rurale de Gaza, la famille Samouni s’apprête à célébrer un mariage. C’est la première fête depuis la dernière guerre. Amal, Fouad, leurs frères et leurs cousins ont perdu leurs parents, leurs maisons et leurs oliviers. Ils replantent des arbres et labourent les champs, mais une tâche plus difficile encore incombe à ces jeunes survivants : reconstruire leur propre mémoire. Au fil de leurs souvenirs, Samouni Road dresse un portrait de cette famille avant, pendant et après l’événement qui a changé leur vie à jamais.

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Extrait


Informations complémentaires sur le film :

« SAMOUNI ROAD de Stefano SAVONA » Sortie nationale au cinéma le 7 novembre

Documentaire, Animation de Stefano SAVONA
2018 – 116mn – VO / Tous publics

L’Oeil d’Or – Prix du Meilleur documentaire – Cannes 2018 / Quinzaine des Réalisateurs 2018


SYNOPSIS

Dans la périphérie rurale de la ville de Gaza, la famille Samouni s’apprête à célébrer un mariage. C’est la première fête depuis la dernière guerre. Amal, Fouad, leurs frères et leurs cousins ont perdu leurs parents, leurs maisons et leurs oliviers. LE quartier où ils habitent est en reconstruction. Ils replantent des arbres et labourent les champs, mais une tâche plus difficile encore incombe à ces jeunes survivants : reconstruire leur propre mémoire. Au fil de leurs souvenirs, Samouni Road dresse un portrait de cette famille avant, pendant et après l’événement qui a changé leur vie à jamais.

LA PRESSE EN PARLE DÉJÀ

« Une plongée dans l’épouvante, dans des enfances brisées, mais aussi dans le courage de ces Palestiniens, phénix du Moyen-Orient, qui, sans cesse et malgré tout, reviennent à la vie. »
Pierre Barbancey, L’Humanité.

« L’ange de l’histoire suspend son vol à la jonction des peaux et de l’encre et on se dit qu’on n’avait jamais ressenti avec une telle justesse l’accolade fatidique du deuil qu’en voyant surgir dans un enchevêtrement, crayonnée et attrapée sur le vif, l’expression de surprise effarée de ceux dont on ne croisera plus jamais le regard… »
Didier Péron, Libération

– Les Samouni, famille brisée par un « crime de guerre », par Jean-Pierre Perrin, Libération du 23 janvier 2009 : « Les Samouni, une famille d’agriculteurs plutôt aisés, perdront – d’après nos informations – 22 des leurs dans ce que les organisations humanitaires considèrent comme un « crime de guerre délibéré ». Parmi eux, neuf enfants et sept femmes. Sept autres parents plus éloignés, dont trois enfants et deux vieillards, seront aussi tués. Si l’on fait le bilan des victimes, ce sont plus de 70 personnes qui ont trouvé la mort ou ont été blessées. Le bilan fourni hier par Amnesty International, qui enquête à Gaza, est encore plus lourd : 40 tués, dont 33 pour la famille Samouni. »

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