Sionisme – Antisionisme

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« Ils ont permis au profane de conquérir le sacré »

Cet article d’Emmanuel Lévyne est paru dans le numéro 5 de la revue Tsedek en mars 1957. Les « larges extraits de l’étude de Léon Tolstoï » évoqués au début de celui-ci ont été publiés sur notre site ici.

l cordova kaczerginski « L’apparent oxymore "juif antisioniste" a une charge puissante qui nous plaît »

« L’apparent oxymore « juif antisioniste » a une charge puissante qui nous plaît »

Liliane Cordova Kaczerginski 26 août 2013

Entretien effectué à Madrid en 2012 avec Liliane Cordova Kaczerginski, membre fondatrice du Réseau Juif Antisioniste (IJAN).

Fille de survivants de la IIe Guerre Mondiale, Liliane Cordova Kaczerginski mène une lutte intense, tant sur le plan théorique de la recherche que dans la pratique, pour démasquer la véritable nature coloniale et excluante du projet sioniste de l’Etat d’Israël.

leon tolstoi Léon Tolstoï et le sionisme

Léon Tolstoï et le sionisme

Emmanuel Lévyne a publié dans son livre « Judaïsme contre sionisme » (Editions Cujas 1969) p 283 à 290 cet extrait d’un recueil que Léon Tolstoï a écrit en 1906. Où l’on constatera que le mythe d’un Tolstoï inspirateur des premiers sionistes est bien mis à mal par…Tolstoï lui-même !

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Pierre Stambul à Bordeaux le 24 avril 2013

Vidéo de sa conférence présentant son livre « Israël/Palestine : Du refus d’être complice à l’engagement ».

Organisée à l’Athénée Libertaire par l’UJFP Aquitaine , le cercle libertaire Jean Barrué et la librairie du Muguet

Pierre Stambul à Orléans le 9 février 2013

Pierre Stambul, co-président de l’Union Juive Française la pour Paix, présente son livre: « Du refus d’être complice à l’ Pierre Stambul à Orléans le 9 février 2013

arton2108 Sionisme : « Pas en notre nom »

Sionisme : « Pas en notre nom »

INTERVIEW DE PIERRE STAMBUL, de l’Union Juive Française pour la Paix parue dans le numéro 107 ( janvier 2013 ) de la revue CQFD page 8 et 9

Pierre Stambul, militant libertaire et antisioniste, vient de publier Israël/Palestine, Du refus d’être complice à l’engagement[[Pierre Stambul, Israël/Palestine. Du refus d’être complice à l’engagement, Acratie 2012]]. Il raconte ici ses racines juives et athées et, en opposition au colonialisme israélien, évoque un judaïsme multiethnique et sans frontières, ainsi que le souvenir du Yiddishland de ses ancêtres, vecteur d’une culture, d’un état d’esprit et de courants d’idées prônant une émancipation universelle.

Du refus d’être complice à l’engagement (Pierre Stambul)

Editions Acratie

Parution novembre 2012

Du refus d’être complice à l’engagement

Pierre Stambul

Israël/Palestine

600 pages – 25 euros.

Débat avec Schlomo Sand autour de son dernier livre « COMMENT LA TERRE D’ISRAËL FUT INVENTÉE ? »

COMMENT LA TERRE D’ISRAËL FUT INVENTÉE ?

Cette question iconoclaste est posée par Shlomo Sand, académicien israélien de renom, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Tel-Aviv.

Dans cet ouvrage, Sand traite du territoire mystérieux et sacré, la « terre promise » sur laquelle un « peuple élu » aurait un droit de propriété éternel, inaliénable et exclusif. Ces concepts ont souvent été utilisés à tort et à travers pour prêter une valeur intrinsèque et idolâtre à cette terre tant convoitée. Le professeur Sand a entrepris une œuvre d’analyse et de déconstruction des mythes sur lesquels se fonde l’État d’Israël et qui constituent un mur idéologique qui empêchent l’édification d’une paix juste entre Israéliens et Palestiniens.

arton2230 Le Sionisme : un nationalisme juif à l’épreuve des postcolonial studies

Le Sionisme : un nationalisme juif à l’épreuve des postcolonial studies

Par Céline Lebrun, étudiante en master de Science Politique à l’université Paris VIII

Résumé : Nous verrons ici que ce qui distingue le mouvement nationaliste sioniste des autres formes d’expressions du nationalisme juif trouve sa source dans son caractère intrinsèquement colonialiste. Colonialiste, en ce sens où le sionisme est une doctrine qui légitime une entreprise de colonisation. En effet, si le sionisme regroupe lui aussi, à l’image du nationalisme juif, différents courants, tous ont pour plus petit dénominateur commun “le projet de donner à l’ensemble des juifs du monde un centre spirituel, territorial ou étatique”.

Printemps 2012 – Justice sociale, Palestine et islamophobie

Conférences-Débat

Dimanche 11 mars à 13h00

Printemps 2012

Justice sociale, Palestine et islamophobie


Avec Youcef Brakni, Tariq Ramadan et Marwan Muhammad

Lieu : Espace Jean Couty – M°Gorges de Loup

56 rue Sergent Michel Berthet – 69009 Lyon

Un Etat ou deux Etats en Palestine ? Quelles sont les conditions de la paix ?

En 1988 à Alger, la direction de l’OLP (Organisation de libération de la Palestine) a reconnu l’Etat d’Israël dans ses frontières d’avant 1967 et a limité ses revendications à un Etat palestinien sur 22% de la Palestine historique (Gaza, Jérusalem Est et Cisjordanie). Avant d’examiner les circonstances historiques qui ont mené à cette concession majeure et ce qui s’en est suivi, il convient de faire une constatation facile : près de 20 ans après les accords d’Oslo, conséquences de la décision d’Alger, l’occupant a détruit dans les faits toute possibilité d’établir un Etat palestinien qui soit autre chose que la juxtaposition de bantoustans isolés et non-viables. Alors, utopie pour utopie, revenons sur ce débat « un Etat/deux Etats ».

michel warschawskinb APARTHEID ? PIRE !

APARTHEID ? PIRE !

Michel Warschawski

« One, two, three, four

Occupation no more,

Five, six, seven, eight

Israel is an apartheid State ! »