Une Parole juive contre le racisme – la brochure

• Des actes antisémites choquent la population.
• Des violences racistes sont aussi commises contre les Rroms, les Musulmans, les Noirs, les Asiatiques…
• Contrôles au faciès, bavures policières, discriminations interrogent sur l’existence d’un racisme structurel.

A l’occasion de la parution de l’ouvrage Une parole juive contre le racisme, un débat a été organisé le 19 mars dernier, sur le thème : comment lutter (vraiment) contre le racisme ? avec la participation de
– Yasser Laouti, (CCIF)
– Saimir Mile (La voix des Rroms)
– Franco Lollia (Brigade anti-négrophobie) et
– Emmeline Fagot (UJFP)

modérateur : André Rosevègue.

Voici les vidéos des quatre interventions :

Enregistrement de l’émission de radio (RBS 91,9 FM) le dimanche 1er mai où nous avons présenté « Une voix juive contre le racisme ».
Nous (Josiane et Perrine), membres de l’UJFP Alsace, étions invitées par la Radio Bienvenue Strasbourg et interrogées par Odile et Patricia pendant 1h30+1/2h sur la culture palestinienne.

Le 19 mars dernier, l’UJFP (Union Juive Française pour la Paix) organisait à Paris une conférence sur le thème «Comment lutter (vraiment) contre le racisme» à l’occasion de la sortie de son livre «Une parole juive contre le racisme».
Quatre prises de parole étaient au programme :
– Emmeline Fagot, pour l’UJFP
– Yasser Louati, pour le CCIF
– Saimir Mile, pour la Voix des Rroms
– Franco Lollia, pour la Brigade Anti-Négrophobie

Un événement important, dont les interventions méritent d’être écoutées, et partagées, pour l’intelligence sensible qu’elles contiennent et leur indéniable nécessité en la période.

Voici les enregistrements vidéos de ces interventions :

Dans un ouvrage collectif, l’UJFP fait entendre une « parole juive » contre tous les racismes, sans esquiver les sujets sensibles.

On a appris à se méfier des vade-mecum de l’antiracisme, pas toujours dénués d’arrière-pensées, et versant souvent dans la concurrence des racismes. Le petit ouvrage collectif publié récemment par l’Union juive française pour la paix (UJFP) n’en est que plus utile. D’emblée, l’intention est affichée : « C’est du racisme dont nous voulons parler, pas seulement de sa variante antisémite. » Les auteurs rappellent qu’évidemment « le souvenir des persécutions et du génocide juif […] incite à une vigilance particulière ». Mais c’est pour immédiatement constater qu’aujourd’hui « les principales victimes du racisme ne sont plus les juifs ».