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Témoignages qui nous permettent d’éclairer la situation en Palestine
Le 10 mars 2025, Mireille, Anne-Marie et moi quittions Paris pour rejoindre Le Caire, notre première étape de ce voyage qui nous mènera en Cisjordanie. Nous avons retrouvé cette ville, telle qu’elle était en octobre 2023 avec quelques centaines de milliers d’habitants en plus : des réfugiés de Gaza. Ces femmes,
Les écoles de Gaza ne sont plus des lieux d’apprentissage, mais des scènes de ruine annoncée, des cours silencieuses pleines des pleurs d’une enfance disparue. Ces salles de classe qui résonnaient autrefois des voix enfantines et du crissement des craies sur les tableaux ne sont désormais que des tas de
Depuis des mois, le site de l’UJFP fait connaître la résistance, les cris de colère et les analyses de nos camarades de Gaza qui vivent un génocide.Il est vain de dire : « les Palestiniens pensent que … ». Aucune force ne peut, dans cette Palestine fragmentée par l’occupant, prétendre parler au nom
Gaza n’attend plus la mort, elle la vit – littéralement – à chaque instant.
L’agression israélienne se poursuit avec une violence rarement égalée, tandis que les corps des Palestiniens tombent comme des feuilles mortes dans un automne sombre sans hiver à venir. Le feu des bombardements ne fait aucune distinction
La guerre à Gaza n’est plus une simple confrontation militaire menée à coups de bombes : elle est devenue un projet stratégique dont l’objectif profond est de vider Gaza de sa population, en imposant une nouvelle réalité démographique, sans déclaration officielle. Ce projet repose sur ce qu’on appelle les «
À Gaza, bien avant la fermeture totale des points de passage et l’arrêt de l’arrivée des camions d’aide humanitaire, une vie parallèle se déroulait dans l’ombre : une économie souterraine nourrie par la guerre et le blocus, prospérant sur la misère et le besoin. Ce système invisible, connu sous le
Un témoignage rapporté par Abu Amir.
Elle n’avait pas encore vingt-cinq ans. Une jeune femme de Gaza, au début de sa vie, mariée à l’homme que son cœur avait choisi, avec qui elle avait eu un petit garçon qui n’avait pas encore fêté sa première année. Dans cette petite maison, dans
À Gaza, la catastrophe n’est plus un événement exceptionnel, mais une réalité permanente qui ronge les âmes sans répit. Ce n’est pas seulement une guerre menée par des missiles et des avions, mais une extermination continue, un nettoyage ethnique systématique exécuté de sang-froid sous les yeux du monde. Les habitants
Dans la bande de Gaza, la mort n’est plus un événement exceptionnel, mais une réalité quotidienne que vivent les habitants, 24h sur 24, angoissés par la peur et la faim. Gaza n’est plus simplement une ville sous blocus, mais un témoin vivant de l’une des pires catastrophes humanitaires de l’histoire
Les équipes de l’UJFP poursuivent leur travail dans le nord de la bande de Gaza ainsi que dans la région centrale, en organisant des séances de soutien psychologique pour les femmes déplacées vivant dans les camps d’hébergement.
Cette semaine, deux séances ont été organisées : l’une dans le camp Al-Isra 2,
À l’est de la ville de Gaza, dans les quartiers modestes où l’odeur du pain brûlé se mêle à celle de la poussière chaude, se cache une tragédie dont les chapitres continuent de s’écrire. Une modeste maison partagée par deux familles, ses murs portant les traces d’une vie simple mais
À Gaza, les yeux ne se ferment pas, non pas parce que la nuit est belle, mais parce que les bombardements ne cessent jamais. Dans ce petit morceau de terre assiégé par le feu, la faim et la peur, la vie ne ressemble plus à rien de ce que le