Un « canular » désopilant. Comment les policiers peuvent-ils continuer à se laisser berner par un personnage parfaitement identifié ?
Article paru dans Politis n° 1358
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Les occasions de rire sont trop rares en ce bas monde. En voici une. Vous téléphonez au commissariat de police le plus proche, ou à la préfecture, et vous signalez que votre voisin de palier ou un bon ami, choisi pour son sens de l’humour, est en train d’égorger sa femme. Agissez de préférence au milieu de la nuit. Et normalement, et si votre voix n’a pas tremblé, un commando du Raid, groupement d’élite de la police nationale, devrait rapidement débouler à son domicile, armé de pied en cap, défoncer la porte d’entrée, tirer le suspect de son sommeil, le plaquer au sol, le menotter serré jusqu’au sang, puis le faire embarquer en dépit des objurgations de l’épouse bien présente et bien vivante.
Hommage à mon père, hommage au Grand Rabbin (à l’occasion de l’inauguration de l’Allée Max Warschawski à Strasbourg)
Monsieur le Grand Rabbin, Monsieur le Maire, ma très chère famille, ma chère Ursule,
Faire l’hommage de son père est toujours un exercice difficile. Faire celui du Grand Rabbin Warschawski quasiment impossible. Impossible, car il était tout à la fois un érudit, un maître adulé par ses centaines d’élèves, un homme engagé dans la société française, le chef de la tribu des Warschawski, et, plus que tout, un rabbin.