Comme tous les militants de la cause palestinienne, et plus particulièrement ceux qui soutiennent la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), les signataires de cette lettre se trouvent journellement confrontés à l’accusation d’antisémitisme.
Déplorant que cette accusation soit relayée par notre propre gouvernement, même au prix d’un mensonge, comme lorsqu’un premier ministre en exercice dénonce un fantasmatique « boycott des produits kasher », ils souhaitent, expliquent-ils, un retour à la réalité.