Un témoignage de Jean-Guy Greilsamer
Le lundi après-midi 2 mars, je reçois d’abord un coup de fil prétendument du commissariat du 17ème arrondissement de Paris, me sommant de venir signer une plainte déposée contre moi. Je refuse : si une plainte est déposée contre moi, qu’elle me soit envoyée par la poste !
Il m’est alors répondu que la police allait venir me remettre la plainte chez moi.