À Gaza meurtrie, où résonnent les échos des bombardements mêlés aux cris des déplacés, se déroulent de nouveaux chapitres d’une tragédie marquée par des visages perplexes, entre rumeurs et vérités, entre ce qui circule parmi la population et ce que l’occupation choisit de dissimuler. Ces dernières heures, des nouvelles se
Dans un territoire assiégé depuis de longues années, la tragédie croise la résilience des habitants comme l’ombre croise la lumière. Gaza, aujourd’hui, n’est pas un simple titre éphémère défilant sur les chaînes d’information, mais un test moral qui révèle ce qu’il reste d’humanité dans le monde. La machine de guerre
Depuis de longs mois, les habitants de Gaza vivent au rythme des avancées et des reculs, au gré des nouvelles concernant des négociations qui commencent et s’achèvent sans résultats. Ils vivent dans une attente inquiète et amère, s’accrochant à la moindre lueur d’espoir qui pourrait les sauver de ce cycle
Dans la bande de Gaza, où les camps s’étendent comme une mer de tentes, des milliers de femmes vivent suspendues entre une attente sans fin et une peur constante. Chaque tente abrite une histoire de perte, chaque ruelle poussiéreuse porte une douleur silencieuse, et chaque visage féminin raconte une lutte
La situation sécuritaire dans la bande de Gaza, en particulier dans les zones de Jabalia, Al-Nazla et Abou Iskandar, au nord de la ville de Gaza, connaît une escalade sans précédent alors que l’opération militaire israélienne entre dans son quatorzième jour consécutif. Le terrain est soumis à des bombardements aériens
Après deux ans de guerre continue, la faim est devenue la maîtresse des foyers gazaouis. La famine n’est plus un mot exagéré, mais une réalité quotidienne vécue par la population. Certes, certains produits alimentaires arrivent parfois sur les marchés, mais leur présence ne signifie pas que les citoyens puissent les
Abu Amir, 29 août 2025, Gaza-ville
Dans la matinée du vendredi 29 août, les autorités d’occupation israéliennes ont annoncé que la ville de Gaza, avec toutes les vies, la mémoire et l’humanité qu’elle abrite, sortait du cadre de ce qu’elles appellent une « trêve tactique », pour être officiellement classée «
C’était au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, quand les convois humains quittaient l’Europe, chargés des décombres des massacres et des persécutions, à la recherche d’un refuge sous un nouveau soleil. La Palestine, à cette époque, était une terre verdoyante, ornée d’oliviers, de blé et d’orangers, débordante de bonté et