Gaza

Cette soirée était organisée par l’AFPS et l’UJFP, avec le soutien de la Confédération paysanne, de Solidaires, du CVPRPO et de BDS France.

Ce nouvel épisode nous amène au sud de Gaza, près de Khan Younès, à Khuza’a, un village que nous connaissons bien à l’UJFP. Nous y avons tissé un grand nombre de liens depuis plus de 3 ans.

Par Ziad Medoukh.

Une nouvelle année qui s’écoule, et une autre qui commence. Mais pour toute la population civile dans la bande de Gaza-une région enfermée et isolée, une enclave côtière laissée à son sort depuis plus de treize ans- trois questions lancinantes se répètent au début de chaque nouvel an : Où est le changement ? Jusqu’à quand ? Il est où le monde qui se dit libre ?

17 janvier 2020

Par Iyad Alasttal.

La vannerie est une technique et un art très ancien – elle précède même la poterie – et a été développée indépendamment par toutes les civilisations humaines. Les premières traces de travaux de vannerie datent d’il y a plus de 10 000 ans et ont été découvertes en Haute Égypte. On en a retrouvé des traces au Moyen Orient vieilles de plus de 7 000 ans.

Par Iyad Alasttal.

Une nouvelle année commence toujours avec des vœux. Tout le monde l’a certainement déjà fait pour 2020… Avec des souhaits qui sont à l’image de ce que vivent les citoyens des différents pays du monde.

Les 2 millions d’habitants de la Bande de Gaza ont aussi des rêves, des espoirs, des souhaits. Iyad a choisi de laisser s’exprimer 4 d’entre eux pour Gaza Stories.

Dans ce nouvel épisode de Gaza Stories, Iyad a filmé l’indispensable travail auprès des enfants réalisé par une petite équipe de bénévoles. C’est l’épisode 62 qui clôt l’année 2019.

Ce dernier épisode de Gaza Stories de l’année 2019 nous montre à quel point les habitants de la Bande de Gaza peuvent être créatifs pour imaginer des actions de soutien totalement bénévoles et s’y investir.

27 décembre 2019

La Bande de Gaza compte, dans sa population, plusieurs milliers de chrétiens: entre 1500 et 3000 selon les sources, 2500 officiellement (Autorité palestinienne). Ce sont majoritairement des chrétiens orthodoxes mais il y a une forte communauté catholique et aussi des chrétiens coptes et baptistes.

Ma vie en dialyse, raconte l’histoire d’une femme palestinienne de Gaza qui est insuffisante rénale.

Elle doit donc épurer son sang de ses déchets trois fois par semaine (la dialyse). Son fils Mohammed, 13 ans, l’accompagne souvent à l’hôpital et reste patiemment auprès de sa mère pendant la séance de traitement.

Tout au nord de la bande de Gaza, a moins d’un kilomètre de la barrière israélienne, s’étendent les champs de fraises qui ont fait la célébrité de Beit Lahia, centre de l’empire de l’ « or rouge » !

A Beit Lahia, où on fait 2 récoltes de fraises par an, en mai et en décembre, on retrouve des fraises jusque sur le logo officiel de la ville !

Par Iyad Alasttal.

Il y a quelques semaines, l’Institut français de Gaza a décidé d’organiser un « hackathon » de la langue française. Ce terme, « hackathon » est un mot-valise constitué de « hack » et « marathon ». C’est à l’origine un rassemblement de développeurs en informatique, généralement organisés en équipes. L’objectif est de tester une idée et de produire un prototype d’application en quelques heures. La référence au « marathon » fait allusion au travail, intense et sans interruption, des développeurs qui peut durer quelques jours, souvent un week-end.

10 décembre 2019

« Je suis humain » –  » أنا إنسان  » (Ana ‘insan). C’est le cri de ralliement du 5e festival de cinéma « Tapis rouge pour les droits de l’homme » destiné à rappeler au monde que depuis 13 ans les habitants de la bande de Gaza sont soumis à un blocus tel qu’il leur interdit tout accès au cinéma: il n’y a plus de salle à Gaza et les 2 tiers de la population ne sont jamais allés au cinéma.