L’une des pires violations du droit international subies par la Palestine, et de façon particulièrement féroce par Gaza, la question de l’eau douce est au cœur du travail paysan : la première adresse aux solidaires français, relayée par leur mokhtar, des paysans de Khuza’a et Absan, a ainsi été le besoin d’un château d’eau, pour ne pas être dépendant d’une électricité aléatoire pour pomper l’eau d’irrigation de leurs champs.
Ce château d’eau financé dans un temps record grâce à l’appel de l’UJFP est fonctionnel depuis quatre ans, une centaine d’exploitations agricoles (un millier de personnes) y sont raccordées grâce au déploiement d’un réseau de canalisations jusqu’à proximité de la dangereuse barrière de séparation. L’UJFP soutient Gaza – Campagne UJFP : La pépinière