Cher-E-s ami-E-s
L’objet de cette lettre est double, une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle.
La bonne nouvelle est que le Centre d’Information Alternative que j’ai longtemps dirigé et dont je reste un membre actif vient de recevoir le Prix des Droits de l’Homme de la République Française. Il s’agit là d’une reconnaissance institutionnelle dont on ne peut sous-estimer l’importance, et les réactions hystériques du Conseil [dit] Représentatif des Institutions Juives de France sont là pour le confirmer.