L’une des pires violations du droit international subies par la Palestine, et de façon particulièrement féroce par Gaza, la question de l’eau douce est au cœur du travail paysan : la première adresse aux solidaires français, relayée par leur mokhtar, des paysans de Khuza’a et Absan, a ainsi été le besoin d’un château d’eau, pour ne pas être dépendant d’une électricité aléatoire pour pomper l’eau d’irrigation de leurs champs. L’UJFP soutient Gaza – Campagne UJFP : Le château d’eau de Khuza’a