Ils commencent leur phrase par « Certes, on peut comprendre la colère… » et la terminent par « … mais rien ne justifie la violence ».
Lorsque des salarié-e-s en lutte détruisent du matériel informatique dans une sous-préfecture, retiennent pendant quelques heures leur patron, déchirent une chemise, ils sont là.
Lorsque des habitant-e-s des banlieues excédé-e-s
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