Par Denis Godard.
Bien sûr le pouvoir et les médias dominants voudraient réduire la manifestation du premier mai à Paris à une polémique contre des « violents » et des « casseurs » et faire oublier ainsi la violence du pouvoir.
Faire oublier, en se concentrant sur « ce qui détruit », que « ce qui nous détruit » c’est toute la logique du pouvoir. Et qu’il y a des deux côtés, celui du pouvoir comme celui du mouvement, une dialectique entre destruction et construction.