Dans la lignée de Le char et l’olivier, ce nouveau film présente une « autre » histoire de Gaza qui donne la parole aux acteurs locaux plutôt qu’aux commentateurs. Il a été réalisé par 2 équipes qui ont tourné dans la Bande de Gaza et en Europe (France, Belgique, Royaume Uni…etc.).
Une tournée des avant-premières de « Yallah Gaza » a été organisée ; commencée en février elle se poursuit ainsi…
Mardi 7/03 Montpellier Diagonal cinéma
Mercredi 8/03 Marseille Ciné le Cesar
Vendredi 10/03 Toulouse Ciné Utopia (Festival Palestine Toulouse Occitanie)
Jeudi 16/03 Metz (57) Ciné le Klub
Vendredi 17/03 Thionville (57) salle associative Le Gueulard
Samedi 18/03 Nancy (54) Ciné le Caméo
Du 22/03 au 27/03 tournée en Corse.
Jeudi 30/03 Chauffayer (05) Ciné Vadrouille (Festival « Palestine en vue » ERAP)
Vendredi 31/03 Charlieu (42) Ciné les Halles (Festival « Palestine en vue » ERAP)
Dimanche 2/04 Tassin la Demi-lune Ciné Le Lem 18 H 30 (Festival « Palestine en vue » ERAP)
La toute « première-avant-première », à la mi- décembre 2022 au cinéma Jacques Perrin de Tarare, a produit une nouvelle bande-annonce de communication sur YouTube pour le film.
La mise à jour de ces dates et des lieux, ainsi que l’ajout de nouvelles avant-premières, est diffusée sur la page Facebook du film. La sortie nationale n’interviendra qu’à l’été ou l’automne 2023 (la date n’est encore pas définie).
Tournée en France de l’équipe et des danseurs du film
Ces avant-premières seront suivies, à partir du 15 juin à Paris de soirées-débats où se produiront les jeunes danseurs de Dabké avant la projection du film.
Elles sont organisées et soutenues par Roland Nurier, l’AFPS, Culture de Palestine, Gaza Stories et l’UJFP.
Faire venir ces personnes depuis Gaza et les emmener de ville en ville pendant 15 jours coûte cher…
Vous pouvez les aider et ainsi participer à cette tournée, en faisant un don sur le site de Culture de Palestine ou encore, en flashant ce QR code :
Note sur le dabké
Danse traditionnelle du Proche-Orient, elle est très présente dans le film avec ses danseurs. Le dabké est particulièrement apprécié et pratiqué en Palestine car il symbolise, entre autres, l’attachement des Palestiniens à leur terre.
Un épisode de Gaza Stories met en scène les danseurs et leur professeur Waheed Abu Shahma qui sont présents dans le film.