Compte rendu d’un atelier à Deir al-Balah
Les crises que traverse Gaza ne sont plus de simples scènes passagères ; elles se sont transformées en un état constant de peur, de tristesse et d’anxiété, laissant de profondes cicatrices psychologiques chez les Palestiniennes et faisant du besoin d’intervention psychologique non pas un luxe,
Gaza ne traverse pas seulement une crise humanitaire ; elle vit l’une des catastrophes les plus atroces et systématiques de l’histoire contemporaine. Ce qui se passe n’est ni le résultat d’un tremblement de terre ni d’une épidémie, mais d’un siège délibéré, d’une famine intentionnelle et d’un effondrement humanitaire que la
Au cœur du camp Al-Israa, au centre de la ville de Gaza, trente femmes déplacées se sont réunies sous une tente modeste dressée sur un sol poussiéreux, entourée d’autres tentes, chacune racontant l’histoire d’une maison détruite, dune famille déplacée ou d’une âme perdue.
À l’intérieur de cette tente, qui ne filtre
La situation humanitaire dans la bande de Gaza : un blocus étouffant et une famine généralisée
La bande de Gaza, ce petit territoire sur la carte du Moyen-Orient, n’est pas seulement un lieu géographique, mais l’incarnation d’une tragédie humaine qui s’aggrave avec le temps. Depuis plus d’une décennie, les habitants de
La bande de Gaza traverse actuellement l’une des crises humanitaires les plus dévastatrices de son histoire, où la famine et la malnutrition frappent les corps de centaines de milliers de civils, dans un cauchemar sans fin. Cette catastrophe ne résulte ni de catastrophes naturelles ni d’une pénurie mondiale de ressources,
Alors que les bombes pleuvent sur les civils à Gaza et que des flammes s’élèvent de chaque quartier et rue, une autre scène se joue en coulisses, totalement différente. Gaza n’est plus seulement un champ de bataille entre une résistance palestinienne et une armée d’occupation israélienne. Elle est devenue le
Un commissariat détruit dans le quartier d’Al-Nasr. Dans des cellules brûlées autrefois utilisées pour la détention, ces sans-abri ont trouvé un dernier refuge après que l’occupation a détruit leurs maisons dans la ville de Beit Lahia. Ils ont fui vers un endroit sans abri, sans adresse, sinon la ruine. Le
Avec douleur et chagrin, ces lignes sont écrites sur Gaza, devenue un symbole permanent de tragédie, un miroir reflétant ce qui reste de la conscience du monde. Je ne sais par où commencer, tant les scènes deviennent plus sombres et les histoires se répètent sous différents visages, mais toujours avec