Génocide

Le sud de la bande de Gaza traverse l’une des crises humanitaires les plus complexes de son histoire récente. La région accueille désormais des centaines de milliers de déplacés qui ont dû quitter leurs foyers à Gaza-ville, Rafah et à l’est de Khan Younès en raison de l’agression continue. Les

Gaza saigne depuis deux ans, et son hémorragie ne s’est toujours pas arrêtée.Les enfants meurent dans les bras de leurs mères, les femmes cherchent un abri parmi les décombres, et les vieillards quittent ce monde sans linceul.

Mais derrière ce tableau tragique, il y a d’autres mains qui fabriquent l’enfer et

Avec Jean Guy Greilsamer de l’UJFP.

Dans le camp du Retour, à l’ouest de la ville de Gaza, au milieu des échos des bombardements violents qui font trembler la terre et les maisons, un groupe de femmes a tenu à trouver pour elles-mêmes une lueur au cœur de l’obscurité. Ce sont des femmes épuisées par des

Gaza… une ville noyée dans le sang, encerclée par les flammes, et abandonnée aux nuits obscures, où la seule lueur est celle des incendies s’élevant des maisons détruites. Dans chaque rue, à chaque coin, une image que l’esprit ne peut concevoir et que le cœur ne peut supporter.

Les femmes fuient,

Nous découvrons avec une grande déception l’appel dit « du 21 septembre », qui personnifie le génocide autour du seul Netanyahou, réhabilite le cadre colonial et raciste de la « perspective de deux États », ressuscite le mythe du processus de paix, et sacralise la date de 1967 comme origine de tous les maux.Les

Le 17 septembre, 2025 | UN Human Rights Council | Traduction J.Ch. pour l’AURDIP| Traduction SF pour l’AURDIPsource

GENÈVE (16 septembre 2025) – Israël a commis un génocide contre les Palestiniens dans la Bande de Gaza, a dit aujourd’hui dans un nouveau rapport la Commission Internationale Indépendante d’Enquête de l’ONU sur

Intitulé de l’atelier

« La patrie entre hier et aujourd’hui : la patrie est-elle la terre ou les gens ? » – Femmes des camps entre blessures et résilience.

Contexte

À l’ouest de Deir al-Balah, le camp de Al-Asdiqa’a respire chaque jour les histoires de l’exil. Des femmes ayant perdu leurs maisons et leurs terres

Les pêcheurs de la bande de Gaza vivent une réalité tragique où se croisent la brutalité de la guerre, la précarité de l’existence et l’absence des conditions élémentaires de vie. Héritiers d’un métier transmis de père en fils, ils se retrouvent aujourd’hui pris entre des vagues déchaînées d’un côté et

Dans la bande de Gaza, en particulier dans le centre et le sud, la vie semble se retirer des mains des habitants à une vitesse vertigineuse, laissant derrière elle des images de chaos et de souffrance insupportables. Depuis de longues semaines, le mouvement de déplacement massif ne s’est pas interrompu

La Global Sumud Flotilla, initiative pacifique et humanitaire visant à briser le blocus imposé à Gaza par Israël, navigue dans un cadre de solidarité internationale.À bord des bateaux de la flottille se trouvent des citoyen-nes de nombreux pays, dont Susan Sarandon, Greta Thunberg, Mandla Mandela, Liam Cunninghan, Rima Hassan et

 Au cœur des camps de déplacés, de plus en plus surpeuplés dans le centre et le sud de la bande de Gaza après les vagues d’exode récentes depuis la ville de Gaza, les femmes vivent une souffrance complexe : perte du foyer, exiguïté de l’espace, absence d’intimité et effondrement des