« Et plus encore si c’est un enfant » pourrait-on ajouter.
Telle semble être, en effet, la règle de droit désormais.
Sarcelles, lundi 5 février, 18h30. Un jeune garçon de 8 ans sort de chez lui pour se rendre à un cours de soutien scolaire. Porteur de symboles juifs clairement identifiables – kippa et tsitsits – il parcourt quelques mètres dans l’avenue avant de tomber sur deux jeunes garçons (noirs selon certains) d’une quinzaine d’années qui le font tomber puis le rouent de coups « pas très forts ».