Le 14 mai, la plupart des 1500 prisonniers politiques palestiniens ont accepté d’arrêter la grève de la faim qu’ils avaient engagée le 17 avril et même pour deux d’entre eux depuis fin février, suite à un accord signé entre les autorités israéliennes et le comité des prisonniers. Les principales revendications des grévistes étaient acceptées : droit aux livres et aux études, fin de la mise en cellule d’isolement, droit de visite des familles et surtout, l’engagement que les détenus « administratifs » seraient libérés.