La période est marquée par l’extrême gravité des atteintes portées aux libertés publiques et professionnelles en France, ainsi qu’à l’Etat de droit, cela sous couvert de l’état d’urgence sanitaire lié à la pandémie du Covid. Universitaires, militants syndicaux et des quartiers populaires lancent un appel « pour la création d’une coordination contre les répressions et pour la défense des libertés publiques et professionnelles ».