Mon Dieu que les hommes du CRIF sont bêtes, dirait la Périchole
(Offenbach). Après avoir fait un compte rendu de sa rencontre avec le PCF que celui-ci a démenti, le CRIF récidive avec la CGT, ce qui lui vaut une réponse cinglante du secrétaire général de la Confédération.
En ce qui concerne la CGT, le CRIF a pris ses désirs pour des réalités !
Il aura appris à ses frais que la CGT répond à sa façon comme tous ceux qui ont entendu l’appel de la société civile palestinienne et, dans sa volonté de participer au soutien aux opprimés, utilise cet outil citoyen légitime que représente le BDS.
En tout cas, ceux qui voyaient dans ce centre de propagande israélien
qu’est le CRIF un repaire de faussaires machiavéliques doivent aujourd’hui constater qu’il s’agit de faussaires plutôt patauds.
L’UJFP