Au fil des années, les rapports s’additionnent, les paroles aussi sans résultat. L’occupation-colonisation de la Palestine et l’oppression féroce se poursuivent sans d’autres réactions que verbales. C’est pourquoi je crois qu’il faut, encore plus que par le passé, mettre à l’honneur la poésie. C’est pourquoi, après avoir posté comme premier billet un poème, je récidive aujourd’hui avec un texte mêlant prose et langage poétique (ci-dessous).
En cela je rejoins Stéphane Hessel qui affirmait l’absolue nécessité de la poésie ainsi que Nelson Mandela. Ce dernier avait tenu bon durant ses longues années d’emprisonnement à Robben Island grâce à un court poème, Invictus, de l’écrivain William Ernest Henley (http://parolenarchipel.com/2013/12/15/invictus-le-poeme-prefere-de-nelson-mandela/).