C’est ma double appartenance à mon pays d’adoption, la France, et à mon pays d’origine, la Syrie, qui m’incite à vous adresser cette lettre. Veuillez bien en excuser la longueur : les informations partielles génèrent des jugements partiaux qui nuisent à la cause du peuple syrien, aussi assoiffé de liberté, d’égalité et de fraternité que le peuple français.